Près
d'un couvent d'jeun's filles
Le cordonnier Pamphile
Établit domicile
Et bien il s'en trouva.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Et bien il s'en trouva.
Car la gent
monastique
Jetait dans sa boutique
Les trognons et les chiques,
Restss de ses repas.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Restes de ses repas.
Un jour, la
sœur Javotte
S'asticotait la motte
Avec une carotte
Grosse comme le bras.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Grosse comme le bras.
Ell' s'astiqu' la têtasse,
Se mouille la conasse,
Mais quelqu'effort qu'ell' fasse
Le foutre ne vint pas.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Le foutre ne vint pas.
Or tout ayant
un terme,
Comm' quand jaillit le sperme
Le con s'ouvre et se ferme,
Enfin eIl' déchargea.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Enfin eIl' déchargea.
De l'ouvertur'
béante
Ell' retire écumante
La carotte fumante,
Et puis eIl' la jeta.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Et puis eIl' la jeta.
Par un hasard
comique,
La carott' impudique
Tomba dans la boutique
De maître Barabbas.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
De maître Barabbas.
Il dit : «
-- Ah ! quelle chance,
« C'est aujourd'hui Dimanche,
« Elle est à la sauc' blanche,
« Et cuippe, il I'avala.
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
« Et cuippe, il l'avala ! »
Cré
nom de Dieu Titine
Cette carotte sent l'urine
Elle a servi de pine
Et il la dégueula
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Ah! Ah!
Et il la dégueula |